Le paradis TERRESTRE... Si on s'y mettait ?

lundi 15 septembre 2014

Orthograve

TU DEVRAIS ÉCRIRE

Écrire, oui, mes comment?

Écrire bien. Écrire correctemant. Trouvé les maux pour le dire, et les pauser sur le papié avec la bonne ortograve.

Une tache ardue que d’écrire sans tâches. Déjouer lé pièje de la gramère, respecter la concordanse des tant, la conjuguézon dé verbe et usez de la ponctuassion a bon essian.

La plus grande difficultez est et resteras l’accor du participe passer. Pour les verbe avec l’auxilière avoir, ils s’accorde avec le complèman d’objé directe (les jeune générassions appèlent cela autremant, pardon, gignorre comman, je n’ait pas suivie) quand il est placer avant le verbe. Il s’acorde toujour quant le verbe est utiliser avec l’auxilière être. Il suffit de s’en rappellé.

« Se qui ce conssoit bien s’énonce clairemant et les mot pour le dire arrive aisément» a dit Nicolas Boileau. Mais ils n’arrive pas toujour avec la bonne ortaugraphe, et quand le maux est mal épelé, avoué que ça pennalise la lecture. Sans compté que ça fait passer l’auteur pour un ilètré, je trouve.


Pour ma part, j’aime les mots et la bonne orthographe. Les justes lettres au bon endroit pour composer le mot lui donnent son identité et son esthétique. Si mon nom, par exemple, est mal orthographié, ce n’est pas moi.

Quant à la ponctuation, elle est cruciale et peut même être fatale. On se souvient de l’exemple magistral du sms du président de la République au bourreau au sujet du condamné à mort :

« Tuez pas gracié ». Le bourreau n’a pas su quoi faire.

« Tuez, pas gracié », voilà une virgule fatale, et
« Tuez pas, gracié », elle devient libératrice.

Une toute petite virgule qui fait une grosse différence.








Aucun commentaire: