Le paradis TERRESTRE... Si on s'y mettait ?

mercredi 1 décembre 2010

Je permets

Après la nuit, quand le cerveau s'est promené à sa guise sans ma surveillance, mes premières pensées au réveil sont souvent fertiles.

Brouillonnes, pêle-mêle, encombrées, précipitées, comme pour rattraper tout le pensé sans moi du sommeil, mais fertiles, souvent.

Ce matin, une idée vient s'allumer comme une ampoule qui sourit !

"J'autorise à l'univers à m'enrichir".

Ben oui, en ce moment, c'est un peu la dèche, et je cherche à comprendre pourquoi et comment changer cela. Intenses, les moyens mis en oeuvre, car j'en ai vraiment marre ! Je découvre des choses très intéressantes, des programmations personnelles, collectives. Ainsi, au détour de mes recherches, j'apprends que seule une petite partie de nos pensées conscientes nous mènent, le reste, les inconscientes, sont à la barre.

Ah bon ?
Et comment fait-on pour prendre consciemment la barre ?
Comme on peut.

Ce matin, cette affirmation émerge au-dessus de la mêlée.
"Je permets…"

Je rends perméable à la richesse. Quelle qu'elle soit, et d'ailleurs, vous pouvez remplacer "richesse" par la chose dont vous avez besoin en ce moment. 

Ça ouvre une porte en moi.
Tiens, oui… Grâce à une collec de programmations —conscientes ou non—, je sens que j'ai un gros imperméable sur le dos en ce qui concerne ce domaine. Pas besoin d'aller chercher très loin : les dogmes judeo-crétins qui induisent qu'être riche, c'est forcément être malhonnête. Tous les Madoffs viennent le confirmer. 

— Celui-là, j'avoue, j'ai de la peine à le décoller de mon épiderme. J'ai pas vraiment rencontré des riches nobles. Un ou deux, dans mon collimateur, bien nantis et qui me font envie de leur serrer la pogne, mais qui sont si hermétiques quant à leur richesse que je me demande ce que ça cache. En tous cas, je n'ai encore jamais rencontré un riche ou un bien nanti qui soit disert sur sa façon de gagner de l'argent et qui en parle ouvertement. Quand c'est le cas, c'est une vantardise qui s'avère la plupart du temps être un désir de convaincre d'une honnêteté discutable et couvrir quelques magouilles tranquilles. Un besoin de reconnaissance : "Voyez comme je suis bon, car je suis riche, et en plus, si, si, je vous l'assure, je suis honnête."
Bref, le sujet est universellement tabou. 

Du moins, c'est ce qui m'habite.

Je disais…
Avec toutes ces méfiances, sans m'en rendre compte, je ferme la porte à la richesse. Et ça marche.

Ce matin, en affirmant : "Je permets à l'univers de me rendre riche", j'ai soudain vu arriver et j'ai ressenti une onde d'abondance, de puissance. Enfin la richesse me touche, m'atteint. Quelque chose qui s'ouvre en moi, qui respire, qui communique. 

Tiens, tiens, pendant tout ce temps, c'était juste une histoire de porte intérieure fermée ?





1 commentaire:

Patricia Eberlin a dit…
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